Madame Michèle Riffard

 Madame Michèle RIFFARD
Madame Michèle RIFFARD

Madame Michèle Riffard (de son vrai prénom Germaine) était une médium au don extraordinaire née le 21 septembre 1921, elle était la septième d’une famille de onze enfants. Médium depuis son enfance, elle avait trois ans quand elle a vu ses premières entités. La famille vivait et logeait dans une ferme du Poitou. Avant l’âge de ses 7 ans, on l’appelait « La sorcière, » allant au catéchisme, Michèle se confia au curé il lui avait rétorqué : « Quoi une sorcière !? Mais c’est le bon Dieu qui t’aide. » Depuis ce jour tout avait changé, on pouvait l’appeler sorcière ; peu importait. Toutes les visions, prémonitions qu’elle avait la rendait malade, Michèle avait même eu eu des crises de larmes face aux événements qu’elle savait inévitable. Certaines visions qui se sont produites dont celle du 11 septembre 2001, Madame Michèle confiait que les détails fournis par certains médiums ne font que confirmer les faits qui se produisent prouvant que l’on ne peut pas mentir. Elle disait qu’il y avait beaucoup de charlatans, elle allait même jusqu’à affirmer que sur vingt il y en avait 10 de médiums. Michèle ne savait pas pourquoi elle avait été investie de cette mission, elle était venue pour aider les gens, son prochain et affirmait que cela permet d’oublier ses ennuis, soucis en aidant les autres. Elle parlait peu de ses voyages astraux, elle disait qu’on pouvait revenir dans nos vies antérieures, qu’on a la sensation de voler et on est si léger et tellement bien qu’on ne veut pas revenir. Pour les défunts et les morts, elle affirmait qu’ils étaient comme vous et moi, sinon on ne les reconnaîtrait pas. Elle narrait l’exemple du frère de son gendre décédé à l’âge de 27 ans. Son gendre ne croyait pas du tout à ça, d’ailleurs quand Madame Michèle le voit dans l’entrebâillement de sa cuisine en chair et en os, il lui dit « Je suis là pour mon frère », elle dit à son gendre, « Pascal, ton frère est là » il lui dit : « Mme Riffard, vos conneries, vous les gardez pour les autres, moi je ne crois pas en ce que vous faites. » Son frère rigole et ajoute : « Si je lui donne une preuve que c’est moi, il sera bien obliger de m’écouter. Elle interpelle de nouveau son gendre en disant que son frère veut lui donner une preuve ; agacé il acquiesce. Son frère lève son tee-shirt où l’on distingue à côté du nombril un bouton noir gros comme un bouchon. C’était ça son cancer. Pascal dit : « C’est vrai, il me veut quoi ! » Michèle lui transmit le message : « Il est content de toi, tu vas réussir ton examen. » En salle c’est idem sauf qu’ils disparaissent vite, certains ne croient pas à tout ça, c’est pour cela que l’on doit rester vigilant, correct et sincère. Ne pas inventer. Ne pas arrondir les angles. L’autre monde aide les médiums mais ceux-ci ne sont pas humbles et sont investis par l’appât du gain. On leur demande de gagner leur vie, mais pas d’en faire commerce à grande échelle. Beaucoup de médiums sont trop chers… Prouver que ça existe, on donne une lumière, après c’est à eux de la faire monter. Parfois Michèle racontait que des défunts avouaient n’avoir pas été gentil ou avoir trompé leur femme, on ne dit pas ça. On dit : « Votre mari vous aimait, Madame etc. » Cela ne va rien changer pour lui, là où il est ! Il faut savoir taire quelques vérités. Ce n’est pas interdit. La médiumnité est la preuve qu’il existe un autre monde, une autre vie et il faut la gagner. Cependant il ne faut pas penser que c’est facile ce que l’on fait, il faut le pratiquer avec Foi et Amour. Le soir avant de s’endormir, Michèle remerciaient le ciel d’avoir pu aidé. Michèle avait certains principes, elle refusait de s’occuper de la politique, elle disait : « C’est un panier à crabes. » Elle aurait pu s’en occupé mais elle disait que c’était pas assez propre. En France on a du mal à faire appel aux médiums, en tout cas nous sommes dotés de vibrations et nous les envoyons, tout plein mais c’est le ciel qui choisit qui doit en bénéficier. Nous ne sommes que des canaux, on reçoit, on donne, c’est comme l’amour, c’est une vibration également. Cette vibration est très forte qui sert à faire comprendre que l’on s’aime ou qu’on ne s’aime pas, c’est si fort que cela peut être très faible et qui peut être très méchant. On peut s’aimer ou se tuer, cela prouve que l’amour à deux faces. Cette énergie d’amour on l’a reçoit surtout quand on est jeune. Cela peut durer toute une vie ou être très éphémère. Quant à la lumière c’est encore autre chose que la lumière que l’on voit au quotidien. C’est une autre lumière qui évolue selon ce que l’on veut faire. Cette Lumière invisible sert à empêcher de tomber dans le vide, de se conduire mal, elle nous tient dans ses vibrations et nous protège d’une force infinie. Michèle se servait de prières pour conjurer le mal, maladie, brûlures etc. comme elle disait, croyante mais pas plus, elle n’allait pas à l’église tout le temps. Les dons c’est avant tout pour aider les autres. Plus ça va, plus on avance, plus cela devient compliqué et dur mais drôle de paradoxe assez facile aussi. Mon Dieu que c’est bon disait Michèle. Avoir accepté la mission que l’on m’a donnée et de la transmettre, elle disait que de l’autre côté ils étaient contents et n’avaient jamais fait de reproches. Une science de l’au-delà, oui bien sur, seulement il faut trouver des bons médiums sincères, pas des charlatans. Ils doivent être de vrais médiums, les bons médiums sont ceux qui accomplissent leur mission, pas leur métier. En parlant d’eux, Michèle disait, ils doivent être sincères et propres, elle disait : « Je crois que je reste propre car j’ai besoin de donner ce que je fais, je reste propre parce que j’aime, donner ce que j’ai à donner. Ca la rendait heureuse, elle avait accompli sa mission. On a besoin d’argent. Je suis bien obligée car je n’ai que cela, mais elle était la moins chère. Vous le savez. Madame Michèle disait qu’on allait sur un chaos, c’est une épreuve, il faut la passer. C’est comme la guerre, on n’y peut rien. Nos conduites, nos attitudes, nos erreurs, mon Dieu ! Après ce qu’elle avait vu, rien de bon, mais on ne peut pas le dire, on ne peut pas faire peur, elle disait qu’elle n’avait pas peur, mais j’ai peur pour les jeunes. Il faut prier, demander de l’aide aux guides sinon on va droit à la catastrophe. Tout est vie. Michèle disait que les arbres ont une âme. Ils ont un esprit. Ce ne sont pas des entités, ce sont des plantes vivantes. Car les plantes ont une vie. L’époux de Michèle avait un lilas et dans ses derniers jours  son mari disait à son lilas : « Mon beau lilas, je t’aime, tu le sais, pourquoi tu ne me donnes pas ta fleur ? Tu n’es pas gentil, je t’aime, moi, mon lilas. » En février, il était entièrement fleuri pour la première fois. Et son mari, juste avant qu’il ne parte, avait embrassé les fleurs en leur disant : « Tu m’as fait plaisir, mon lilas, au moins j’aurai eu cette chance de te sentir avant de partir. Je te remercie, je t’aime. » Après son décès, on a ramené son corps à la maison, quand on a descendu son corps et qu’il est passé devant le lilas, celui-ci était couché à terre, mort ! Que c’est-il passé ? Michèle disait que le pauvre arbre était mort en même temps que son mari. Le lilas aimait son mari, une sorte de trace d’amour différente, un chant d’amour. Concernant les pierres, Madame Riffard pensait que celles-ci avaient une force qui peut nous aider, elle vit. Par contre dans l’au-delà on n’est pas toujours pardonné surtout quand on fait du mal. Mais on se doit de les aider en demandant qu’ils reçoivent la Lumière et qu’ils soient guidés par les guides. Michèle disait de l’au-delà, c’est merveilleux, c’est la Paix, c’est une Paix très belle et on a envie d’y aller, on est bien. Mais elle le voyait l’au-delà, pas en entier, en partie. Michèle œuvrait pour l’Amour de son prochain, sa mission elle l’a accomplie avec humilité, sincérité, honnêteté. Elle disait que l’Amour qu’on donne aux défunts est très grand, ils sont heureux. Madame Michèle RIFFARD a accompli sa mission terrestre. Le  5 septembre 2014 Michèle est partie rejoindre ce monde pour continuer à nous aider et comme elle disait si bien : « Au-delà des étoiles. »